Partout dans le monde, le crédit connaît un développement inédit, boosté par des taux d’intérêt bas et l’évolution des mentalités. Payer en 3 ou 4 fois sans frais son nouveau téléphone ou avoir recours à un crédit à la consommation est entré dans les habitudes des consommateurs. Pour beaucoup, posséder un bien n’est même plus une priorité : le « leasing » leur permet désormais d’en jouir avec davantage de liberté, tout en profitant de services associés.
La tendance est la même chez les entreprises, qui ont recours au crédit pour soutenir l’évolution de leurs process et l’innovation, en particulier dans le contexte actuel de relance industrielle. Là encore, la location-vente, et plus globalement, l’économie d’usage font recette, tant pour les équipements que pour les services, et bien au-delà des secteurs familiers de ce type de crédit (informatique, impression, machines-outils...).
Revers de la médaille : le développement du crédit en BtoB et BtoC est une manne pour les fraudeurs, prompts à s’engouffrer dans la moindre brèche ouverte par ces nouveaux usages.
Car la lutte contre la fraude ralentit souvent le parcours client et peut se révéler un frein au business. Quant aux 10% de fraude résiduelle, ils pèsent de plus en plus lourd dans la balance, mais les reconquérir pour éponger les pertes et augmenter la marge paraît si complexe que beaucoup y renoncent purement et simplement.
Partout dans le monde, le crédit connaît un développement inédit, boosté par des taux d’intérêt bas et l’évolution des mentalités. Payer en 3 ou 4 fois sans frais son nouveau téléphone ou avoir recours à un crédit à la consommation est entré dans les habitudes des consommateurs. Pour beaucoup, posséder un bien n’est même plus une priorité : le « leasing » leur permet désormais d’en jouir avec davantage de liberté, tout en profitant de services associés.
La tendance est la même chez les entreprises, qui ont recours au crédit pour soutenir l’évolution de leurs process et l’innovation, en particulier dans le contexte actuel de relance industrielle. Là encore, la location-vente, et plus globalement, l’économie d’usage font recette, tant pour les équipements que pour les services, et bien au-delà des secteurs familiers de ce type de crédit (informatique, impression, machines-outils...).
Revers de la médaille : le développement du crédit en BtoB et BtoC est une manne pour les fraudeurs, prompts à s’engouffrer dans la moindre brèche ouverte par ces nouveaux usages.
Car la lutte contre la fraude ralentit souvent le parcours client et peut se révéler un frein au business. Quant aux 10% de fraude résiduelle, ils pèsent de plus en plus lourd dans la balance, mais les reconquérir pour éponger les pertes et augmenter la marge paraît si complexe que beaucoup y renoncent purement et simplement.
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