Mieux traquer la fraude documentaire : Levier majeur pour customer experience et ROI

D’après l’ESB, la fraude documentaire serait actuellement la troisième industrie criminelle au monde. L’un de ses grands domaines d’activité ? La fraude au crédit, responsable de milliards d’euros de pertes pour les institutions financières, de dommages sévères pour les particuliers, et source de financement du terrorisme et du grand banditisme.

La digitalisation croissante des usages, accélérée par l’arrivée des fintechs et des pure players et par la crise sanitaire, a ouvert de nouvelles perspectives aux fraudeurs.

Le taux de fraude serait 10 fois plus élevé sur le canal digital que sur le canal physique.Les banques ont mis en place tout un arsenal de solutions (KYC, vérification d’intégrité des documents, règles métiers) qui leur permet d’éliminer 90% de la fraude en amont. Mais pour éliminer les 10% restants qui impactent lourdement l’activité, et pour s’adapter aux innovations constantes des fraudeurs, la lutte est de plus en plus complexe et coûteuse.

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Les chiffres

• Le risque de la fraude serait 10x plus élevé sur le canal digital que sur le canal physique
• La fraude documentaire serait la 3ème industrie criminelle au monde, selon ESB
• La fraude au crédit pourrait causer 45 M€ de pertes en 2023 selon WPI

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Table de contenus

NOTIONS ET ENJEUX : Fraude documentaire, ton univers impitoyable

1. Vous avez dit « document vérifiable » ?
2. Il y a la forme du document et il y a le fond
3. Évaluer la cohérence des documents entre eux
4. Détecter les fraudes sans compromettre l’UX et l’efficacité opérationnelle
   

SOLUTIONS ET BONNES PRATIQUES

1. Savoir-faire métiers + technologies expertes : l’alliance payante contre la fraude documentaire
2. Les outils traditionnels contre la fraude documentaire et leurs limites opérationnelle
3. Pourquoi utiliser l’IA  et le ML en renfort  des outils traditionnels ?
4. Carrefour Banque & Assurance : moins de fraude, plus de ROI

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